Devant les murs,

 

C’était un vingt-huit juin,
Un jour vibrant de musique,
En larmes de joies fantastiques,
Les âmes se donnaient la main.

Ce fût une joie immense
De lui confier ma guitare,
Sous un chant de victoire,
De prières et d’espérances.

Cet homme devant les murs,
Que j’ai pris dans mes bras,
Continuera le combat,
Et brisera d’autres serrures.

Olivier Loin