Un petit chanteur wallon se retrouve dans un grand journal flamand… 🙂

On n’oubliera jamais Suzanne je pense et on n’oubliera pas non plus que sa mémoire fait le tour du monde🌏,

une Grande Dame qui n’est ni wallonne, ni flamande mais belge simplement☯️

Et surtout un exemple de générosité.

Elle m’avait soufflé l’idée de chanter mon refrain en néerlandais à la fin de la chanson…

Je tiens à remercier d’ailleurs , Anne Demortier , Marleen Wauters et Isabelle Van de Woestyne pour leur aide précieuse.

Je vous enverrai la traduction de l’article bientôt.

Merci à cette formidable et sympathique journaliste Kristien Bollen d’avoir tout dit .🙏

Voici le lien pour une meilleure lecture :

https://www.hln.be/…/zanger-olivier-loin-eert-suzanne…/

Belle soirée,

Olivier

J’aimerais dédier ces quelques vers,

A toutes les femmes de la terre.

Pour celles, qui des jours durant,

Ont porté une vie, un enfant,

Lassé tant de petites chaussures,

Débarbouillé ces mignonnes figures.

 
J’aimerais dédier ces quelques vers,

A toutes les femmes de la terre.

Pour celles, qui des jours durant,

Ont porté une vie, un enfant,

Lassé tant de petites chaussures,

Débarbouillé ces mignonnes figures.

 
Je veux dédier ces quelques mots,

Au nom de tous les marmots.

Pour celles qui des heures durant,

Ont, tant de soirs chanté des comptines,

De nombreux matins fait nos tartines,

Dans l’ombre, en silence, parfois s’oubliant.

 
Je veux dédier cette chanson,

Au nom de toute la création .

Pour celles qui des années durant,

De baisers en recommandations,

Ont tremblé, frissonné, si souvent,

Se sachant Mère, un métier, une mission.

 
Ce cordon, sensible se faisant discret,

Restera un fil d’amour pour l’éternité.

Je veux dédier ces quelques vers,

A toutes les femmes de la terre,

Pour celles, qui des jours durant,

Ont espéré une vie, un enfant.

 
Je veux dédier ces quelques mots,

Au nom de tous les marmots.

Pour celles qui des heures durant,

Ont, tant de soirs chanté des comptines,

De nombreux matins fait nos tartines,

Dans l’ombre, en silence, parfois s’oubliant.

 
Je veux dédier cette chanson,

Au nom de toute la création .

Pour celles qui des années durant,

De baisers en recommandations,

Ont tremblé, frissonné, si souvent,

Se sachant Mère, un métier, une mission.

 
Ce cordon, sensible se faisant discret,

Restera un fil d’amour pour l’éternité.

Je veux dédier ces quelques vers,

A toutes les femmes de la terre,

Pour celles, qui des jours durant,

Ont espéré une vie, un enfant.
 

Olivier Loin